C’est vrai, l’atelier est un refuge de vérité au milieu d’un monde sophistiqué (1). Pourquoi ? Parce qu’on n’y traite pas les personnes comme des êtres produits en série, qu’on les considère pour ce qu’elles sont : des individus uniques.
Ainsi, à l’atelier, il n’y a pas les enfants, les femmes, les pauvres etc.
Réfléchissez un instant et vous réaliserez que, pour notre plus grand malheur, notre monde ne cesse de produire des catégories.
- Arno Stern, Le monde des autres, 1974 [↩]